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Certaines visites de janvier, nous ont fait revivre la belle époque, le romantisme. Les deux textes suivants vous mènerons en visite dans deux musées qui resituent bien ces périodes.

Musée de la vie Romantique

Au fond d’une cour pavée et de son jardin, le musée de la Vie Romantique ouvre ses portes. Il reste un des derniers exemples des maisons d’artistes construites sous la Restauration de la Monarchie de Juillet. Construite en 1830 la demeure du Peintre Ary Scheffer est un lieu de mémoire de ce quartier appelé à l’époque « quartier de la nouvelle Athènes ». Cette maison restée dans les familles d’Ary Scheffer et Ernest Renan jusqu’en 1983 appartient à présent, à la Ville de Paris. Dans ce lieu, tout évoque la vie artistique et littéraire de la première moitié du XIXè siècle. Formes, couleurs, jeux de lumière, dramaturgie, littérature, peinture, musique …tout est représenté dans ce très agréable endroit.
Du rez-de-chaussée à l’étage, les commentaires sur la vie Ary Scheffer, nous ont permis de mieux connaître Aurore Dupin devenue George Sand, cette femme libre et autonome, Chopin, Delacroix, et bien d’autres artistes de l’époque. Ils ont fréquentés ces lieux encore imprégnés d’une atmosphère particulière. Ces personnages illustres ont contribué à rendre l'Histoire particulièrement riche.
Au rez-de chaussée, 4 pièces se visitent : l’antichambre, le cabinet des bijoux, le salon George Sand, et le petit salon bleu. A l’étage sont parcourus : la chambre des portraits romantiques, le salon des Orléans, le cabinet d’Ary Scheffer, et la chambre Renan.
Lieu qui mérite une visite...                                                                                   

                                                   musée                                         
                     

                      Musée Maxim’s     

Chez Maxim’s c’est l’art nouveau à Paris. Pierre Cardin propriétaire des lieux et dont l’obsession est « la femme », a recréée l’appartement d’une courtisane de la Belle Époque. Les objets exposés datent de la période 1890/1905. Cette collection appartenant à Monsieur Cardin a permis la création du musée qui a une existence d’environ 10 ans. 
Au fil de la visite : meubles, tableaux, photos, objets décoratifs, caricatures sont exposés. La petite nièce de Toulouse Lautrec, commente des anecdotes assez cocasses. Presque chaque objet a sa propre histoire ce qui donne à ce lieu un caractère très cosy. Du quatrième étage au rez-de-chaussée, le visiteur découvre les oeuvres de Louis Majorelle designer – Émile Gallé maître verrier, ébéniste et céramiste français, Toulouse Lautrec peintre, Sem caricaturiste, les créations Tiffany lampes, …
Sur 100 m2 de surface, au rez-de-chaussée, la salle de restaurant équipée d’une piste de danse, permet d’accueillir environ 70 convives.
L’immeuble du XVIIIè siècle a été construit en même temps que la place de la Concorde.     
                         

                                                    
                                                               lampe Tiffany